jeudi 11 août 2016

Coucou chers lecteurs !



Je tiens sincèrement à vous présenter mes excuses pour ce silence pendant un long moment. Comme une vraie patriote, j’ai le devoir de réfléchir sur la situation de mon pays et proposer des solutions, s’il y échet .C’est une obligation pour tout fils du pays d’aimer et de servir sa patrie, cela autant  pour moi. C’est seulement dans cet esprit que l’on peut agir en bon père de famille  une fois que l’on aura une parcelle de  pouvoir.
J’ai toujours  été convaincue que l’instauration d’un état  de droit en RD Congo est possible, et est le décollage de ce grand pays ; Il suffit que chaque congolais  en soit conscient.
En effet, un état de droit est le socle même du développement  d’un pays. D’aucuns peuvent me contredire en soutenant la thèse selon laquelle certains pays à l’instar de la Chine émergent sans qu’ils ne soient des Etats démocratiques. Vous constaterez avec moi que ces Etats peuvent développer des technologies des  pointes, avoir des armées puissantes  à défaut du  respect des principes démocratiques, les peuples  vont massivement chercher leur bonheur ailleurs. A quoi sert à un dirigeant de faire croire au monde entier qu’il gère mieux son pays, au moment où  c’est au vu et au su de tout le monde que ses compatriotes vont s’immigrer ailleurs prétextant qu’ils en ont marre de vivre dans la misère. J’espère bien que vous serez d’accord avec moi, si je disais que le fait de restreindre la liberté des citoyens dans un pays, bloque même le développement économique et social  de la population.
Voilà pourquoi je vous exhorte, mes chers lecteurs, à aimer davantage notre patrie ou que nous soyons, chacun doit poser un acte  en guise de son amour.      

vendredi 25 mars 2016

Quid des élections des gouverneurs des provinces ?

Photo
Radio Okapi

Certainement que c'est dans le soucis de sanctionner les uns et de satisfaire les autres que la Commission Nationale Électorale Indépendante (CENI) organise à la hâte les élections des gouverneurs des provinces. Parfois nous avons l'impression que les politiques congolais ne savent pas ce qu'ils veulent. Au moment où les partis politiques réclament la tenue des élections présidentielles dans le délai constitutionnel, car dépasser ce délai le Président de la République perd sa légitimité (du moins pour ceux qui ont accepté les résultats des élections présidentielles de 2011), ces mêmes partis politiques sont les premiers à aligner les candidats aux élections des gouverneurs des provinces. Ces partis politiques ignorent ou oublient que les gouverneurs qui émaneront de ces élections seront illégitimes du fait qu'ils seront élus par les députés provinciaux qui n'ont plus de mandats.

Concernant les députés provinciaux, c'est depuis 2011 que leurs mandats ont expiré. Donc à l'heure d'aujourd'hui, ces députés n'ont aucune légitimités d'élire les gouverneurs des provinces. Il est évident de conclure que ces élections seront tout à fait illégitimes. Par conséquent, les gouverneurs qui seront issus de ces élections vont diriger par défi, et logiquement, ils ne seront pas redevables à la population. La population ne s'identifiera pas à ces gouverneurs. La crainte se situe plus au niveau des provinces nouvellement démembrées .

De ce qui précède, il ressort que les élections des gouverneurs des provinces vont à l'encontre de toutes voies démocratiques en matière de la bonne gestion de l’État. Ce geste, une  fois de plus, prouve a suffisance que les gouvernants actuels manquent totalement la bonne volonté de bien faire les choses. C'est la raison pour laquelle nous préconisons le dialogue pour amener les uns et les autres à la bonne conscience ,afin de faire sortir ce pays de cette crise infernale.

vendredi 26 février 2016

Année 2016 en République démocratique du Congo : élections ou dialogue ?

La République démocratique du Congo est appelée à connaître son troisième cycle électoral après le dialogue inter congolais de Sun City de 2002. Mais hélas , l 'élection qui est un moyen démocratique d'accéder au pouvoir, les politiques congolais l'ont transformée en source des conflits et d'instabilité. Parler des élections aujourd'hui fait peur car on se pose plusieurs questions : Est-ce que cette fois ci la volonté du peuple sera t-elle respectée ? Ces élections, seront elles crédibles ?seront-elles apaisées ?

Dans la présente  réflexion, il est question de voir l'opportunité du dialogue ou des élections pour cette année 2016. Mais avant tout, il importe de définir les termes ci après :
- élection,
- dialogue
photo google
a. Élection : vient du latin electio qui signifie " choix ". L'élection est un choix réalisé au moyen de suffrage (vote, approbation) auquel toutes les personnes disposant de droit de vote, le corps électoral, sont appelés à participer (cfr le dictionnaire politique toupictionnaire).

b. Dialogue : est une conversation entre deux ou plusieurs personnes sur un sujet défini ; le contenu de cette conversation ; entretien ; discussion. (Larousse)


mardi 2 février 2016

Réflexion sur le préparatif de la journée du 8 mars 2016.

La Femme, entant qu'être à part entière de la société, elle  est appelée à jouer un rôle majeur.  Autrement dit,  comme l'homme  elle doit participer à la gestion de la res  publica.  Exclure  la femme dans la gestion du pays, serait privée la société d' un de ses membres. Par conséquent,  nous assisterons à l' existence d' une société handicapée ( paralysée ).
Sincèrement, il convient de souligner ici  qu' en RDC la participation politique de la femme a connu une certaine évolution. Du point de vue légal, il n' y a pas de textes discriminatoires.

En effet, pour que la femme réussisse dans cette gestion , elle a besoin d' être formée ,et surtout que dans notre société la femme est souvent  jugée sévèrement par rapport  à l' homme, donc  elle n 'a  pas droit à l' erreur. C 'est dans ce cadre que le National Democratic Institut, NDI en sigle réunit les femmes des différentes formations politiques.
Actuellement ,à NDI un comité  regorgeant en son sein les femmes politiques (majorité et opposition) a  été mis en place depuis le mois d' octobre de l' année passée  en vue de préparer la journée internationale de la femme  célébrée le8 mars de chaque année.
Au programme, une série d'activité notamment:
-la vulgarisation des différents textes légaux relatifs à la participation politique de la femme en RDC auprès des femmes politiques ( majorité et opposition).Cette initiative est à encourager comme je l' ai dit ci haut, car plusieurs femmes sont dans  la politique tout en ignorant l' existence de ces textes. Cela  permettra  aux  femmes de mener des actions de plaidoyer afin d'améliorer la législation congolaise en faveur da la femme, en cas d'obscurité. 
.- Augmentation du nombre des bloggers
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